Par RadioTamTam
Phénomène dans le paysage musical français, Aya Nakamura dépasse amplement les frontières de l’Hexagone et conquiert le monde juchée sur ses talons de 12. Pour bon nombre d’adolescents, c’est une des égéries de la pop culture aux paroles bien senties. Pour d’autres, son succès est incompréhensible. C’est à cette deuxième catégorie de personnes que l’artiste vient de répondre sans prendre de gants.
Aya Nakamura, c’est avant tout des chiffres qui donnent le vertige à n’importe quelle maison de disques. Un million d’exemplaires de son (seulement) second album vendu, deux milliards de vues sur sa page Youtube, dix-sept millions d’abonnés sur Spotify ou encore neuf singles certifiés dans près de vingt pays… Les journalistes de Télé 7 jours ne sont pas peu fiers d’avoir gagné quelques précieuses minutes avec la chanteuse à qui rien ne résiste. Après avoir posé un lapin à Quotidien, Aya Nakamura est donc une artiste avec qui nous pouvons nous attendre au meilleur comme au pire. Il suffit de voir qui sont ses muses pour comprendre que la jeune femme n’est pas du genre à se laisser dicter une conduite. « Naomi Campbell, est citée comme exemple par la jeune maman. Comme elle, j’ai su très jeune ce que je voulais et ce que je ne voulais pas. C’est important d’avoir des modèles pour pouvoir rêver. »
Devenue à son tour un exemple pour bon nombre de jeunes filles, Aya Nakamura se déclare très fière de cette nouvelle position. « Si avec ma musique ou ma personnalité, je peux pousser certaines femmes à avoir plus de courage et de confiance en elles, alors je suis ravie, souligne l’artiste. La musique est un milieu patriarcal : quand une femme arrive à s’y imposer grâce à sa personnalité, c’est quelque chose de très fort. Je me suis toujours dit qu’il fallait que je sois fière de ce que je faisais et que j’assume la responsabilité de mes erreurs. »
Si la fascination est bien présente pour une partie de la population, une autre tranche (plus âgée, avouons-le) reste totalement hermétique au phénomène Aya Nakamura, ne comprenant pas certaines de ses paroles du genre « y’a R » ou « En Catchana baby tu dead ça » dans son tube Dja Dja… A ceux-là, Aya Nakamura répond : « C’est difficile de comprendre la musique et les paroles d’une artiste quand on ne se met pas à sa place… Parfois les critiques sont gratuites. Certains médias n’ont pas pris la peine de me découvrir au-delà de l’image de la fille qui se la pète… » Et pourtant, la jolie nana propose bien plus que ça !
Source : voici.fr
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Félicité VINCENT, journaliste indépendante