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AfriLabs, le plus vaste réseau de hubs technologiques et d'innovation en Afrique, a intégré 18 nouveaux centres à son réseau, portant le total à 496 hubs répartis dans 261 villes de 53 pays africains. Actualité Afrique 2050 07 septembre 2024

07 septembre 2024 à 23h42 - 551 vues

Par RADIOTAMTAM AFRICA

La Chine a conclu plusieurs accords concernant des infrastructures écologiques avec des nations africaines.

Le président Xi Jinping a annoncé que la Chine allouerait plus de 50 milliards de dollars en aide financière à l'Afrique sur les trois prochaines années. Cette somme représente une augmentation par rapport aux 40 milliards promis lors du dernier FOCAC à Dakar, Sénégal, en 2021, mais reste inférieure aux 60 milliards de 2018, lors de la réunion à Pékin. Le Nigeria a conclu un accord avec le groupe chinois Mutual Commitment Group pour la fabrication de tricycles électriques. Cette société va aussi créer un centre de formation et d'essai pour les technologies solaires et autres énergies renouvelables au Nigeria. La Chine et l'Afrique du Sud envisagent d'étendre leur collaboration dans le domaine des énergies renouvelables, ainsi que dans le stockage, la transmission et la distribution d'énergie. Un accord a aussi été signé entre Pékin, la Zambie et la Tanzanie pour la modernisation du chemin de fer Tazara, reliant le centre de la Zambie au port de Dar es Salaam en Tanzanie.

Bill Gates donne la parole aux jeunes africains dans le débat sur la nutrition.

Bill Gates, co-président de la Fondation Bill & Melinda Gates, a initié un échange avec des jeunes leaders, des spécialistes en nutrition, des militants et le musicien Jon Batiste, récipiendaire d'un Grammy Award. Lors de cette discussion animée, ils ont partagé des idées novatrices pour combattre la malnutrition grâce à des solutions dans les domaines de la santé, de l'agriculture et du financement. Ces idées incluent l'utilisation de smartphones pour conseiller aux agriculteurs les semences à planter selon la météo, des suppléments en micronutriments pour diminuer l'anémie chez les mères et sauver des nouveau-nés, ainsi que de l'huile de cuisson fortifiée en vitamine A pour booster le système immunitaire.

Le service postal sud-africain, qui existe depuis 232 ans, est au bord de l'effondrement et pourrait s'effacer dans les prochaines semaines.

La directrice générale par intérim de la Poste sud-africaine, Fathima Gany, a surpris les parlementaires en annonçant que l'entreprise manquerait de liquidités et serait liquidée si elle ne recevait pas un renflouement gouvernemental de 214 millions de dollars avant la fin du mois prochain. Gany a informé le Parlement des améliorations apportées à l'organisation, notamment la fermeture d'un tiers de ses agences et le licenciement de 4 000 de ses 11 000 employés. Elle a cependant précisé que la Poste n'avait des réserves de trésorerie que jusqu'en octobre et que, sans fonds supplémentaires, les praticiens du redressement d'entreprises seraient contraints légalement de procéder à sa liquidation. La crise actuelle de la Poste sud-africaine, fondée en 1792, est le résultat de plusieurs années de déclin. L'année dernière, elle a été mise sous protection contre la faillite, avec une dette de 8,7 milliards de rands envers ses créanciers. De plus, son service a décliné, ne parvenant à livrer le courrier que 68 % du temps en 2022, en raison de retards de traitement et de problèmes financiers.

La transition vers les véhicules électriques s'accélère à Addis-Abeba.

Outre les voitures et camions polluants qui circulent sur les routes, des véhicules plus écologiques et silencieux s'intègrent désormais dans le trafic. Des bus électriques, des minibus de 15 places, ainsi que des voitures et motos électriques, font leur apparition dans les rues de la capitale. À ce jour, l'Éthiopie compte environ 100 000 véhicules électriques. Le gouvernement éthiopien prévoit que ce chiffre va plus que quadrupler d'ici 2032. Cela s'explique en grande partie par la décision exceptionnelle du gouvernement, en début d'année, d'interdire l'importation de tous les véhicules de tourisme à essence, faisant ainsi de l'Éthiopie le premier pays au monde à adopter une telle mesure. Il a aussi considérablement réduit les taxes douanières sur les véhicules importés : la taxe sur les véhicules à essence était de 200 % avant leur interdiction, alors que la taxe d'importation pour les véhicules électriques entièrement assemblés est seulement de 15 %, d'après le ministère des Finances du pays. Le Bénin, quant à lui, est coincé dans un modèle économique où il exporte des matières premières à bas prix et importe des produits finis onéreux. L'industrie textile, qui repose sur une main-d'œuvre bon marché après que les machines ont produit le fil et le tissu, a longtemps été perçue comme l'un des premiers échelons de l'industrialisation, attirant les travailleurs ruraux vers les villes et aidant les pays à s'engager sur la voie du développement.

Tout est en place pour que l'Angola procède à la vente des actions de son plus grand assureur.


La privatisation de l'assureur public ENSA - Seguros de Angola SA atteint un "stade avancé", avec le prospectus déjà présenté pour approbation à la Commission des marchés de capitaux, a indiqué vendredi le secrétaire d'État au Trésor, Ottoniel dos Santos, aux journalistes à Luanda. L'offre publique pour une participation de 30% débutera le 15 septembre et les transactions sont prévues pour octobre, a-t-il ajouté. Le gouvernement envisage aussi la vente de parts dans Unitel SA, le principal opérateur de télécommunications du pays, Banco de Fomento Angola, le deuxième plus grand prêteur, Standard Bank de Angola SA, et la bourse de dette et valeurs de l'Angola, Bodiva. Ces entités figurent parmi les actifs les plus significatifs des quelque 200 entreprises et actifs publics que le gouvernement projetait de privatiser en 2019. Le processus de certaines ventes a été retardé par la pandémie de coronavirus.

Acquisition des plus importantes réserves de devises étrangères en Afrique.


En pleine guerre civile en Libye, la banque centrale de Tripoli a tenu bon. Son extérieur, avec des rayures rouges et blanches et surmonté de deux dômes turquoise datant de l'ère coloniale italienne, est resté intact. Sadiq al-Kabir, le gouverneur nommé suite à la chute de Mouammar Kadhafi en 2011, a survécu à deux guerres civiles et à six Premiers ministres. Malgré deux gouvernements, deux parlements, deux systèmes judiciaires et deux régimes de sécurité distincts, M. Kabir a maintenu un semblant d'unité, gérant et distribuant une monnaie unique depuis sa pittoresque banque au bord de la mer. Cependant, le 26 août, la Libye a perdu ce symbole de stabilité. Abdul Hamid Dbeibeh, le Premier ministre de Tripoli, a déployé ses milices à la banque, forçant l'exil de M. Kabir en Turquie. Le Conseil présidentiel libyen, docile, s'est empressé de désigner un successeur et un nouveau conseil d'administration. Wolfram Lacher, un expert de la Libye basé à Berlin, souligne : « Le nouveau titulaire de ce poste n'a aucune légitimité légale ».

La corruption dans le monde des affaires n'est pas exclusive à l'Afrique, cependant, les risques y sont souvent particulièrement accrus.


D'après Transparency International, la corruption est l'une des formes les plus courantes de délinquance dans le monde. Toutefois, dans plusieurs pays africains où le contrôle institutionnel est faible, cette pratique peut prendre une ampleur plus grande, influençant des éléments allant des appels d'offres aux investissements internationaux. La matrice des risques de corruption TRACE, qui mesure les risques de corruption des entreprises à l'échelle internationale, offre un aperçu de la situation de la corruption d'entreprise dans divers pays africains. Ce rapport évalue 194 juridictions, territoires et régions, en attribuant à chacun un score de risque basé sur quatre domaines principaux : les interactions des entreprises avec le gouvernement, la dissuasion et l'application des mesures anti-corruption, la transparence du gouvernement et de la fonction publique, ainsi que la capacité de surveillance de la société civile, incluant le rôle des médias. Le score global de risque d'un pays est une mesure combinée et pondérée de ces domaines. En Afrique, la Guinée équatoriale est en tête avec le risque de corruption le plus élevé, obtenant un score de 87 et se classant 191e au niveau mondial. Elle est suivie par le Soudan du Sud avec un score de 81, au 189e rang mondial, et la République du Congo avec un score de 79, au 187e rang mondial.

AfriLabs, le plus vaste réseau de hubs technologiques et d'innovation en Afrique, a intégré 18 nouveaux centres à son réseau, portant le total à 496 hubs répartis dans 261 villes de 53 pays africains.

Avec les nouvelles adhésions, le réseau AfriLabs atteint désormais 496 membres. Cette croissance souligne la présence croissante d'AfriLabs dans toutes les régions africaines, incluant son premier hub à Stellenbosch, en Afrique du Sud. En Afrique du Nord, le DigiArtLivingLab (DALL) s'est implanté à Tunis et Nabeul. En Égypte, PTS Investments Holdings et Aria Ventures, tous deux basés au Caire, rejoignent le réseau. Mswitch à Abuja, au Nigeria, enrichit l'Afrique de l'Ouest, tandis que l'Afrique de l'Est accueille AFRICA TECH SPACE à Nakuru, au Kenya. Enfin, l'Afrique centrale voit l'arrivée de quatre nouveaux hubs : Ovation et KIVUTECH à Kinshasa et Bukavu en RDC, Revival Innovation Hub à Bua au Cameroun, et DIAMBILAY BUSINESS CENTER à Lubumbashi en RD Congo.

Une zone économique spéciale de 5 000 acres à usage mixte se situe aux abords de Nairobi.


Kim-Fay, un leader dans la fabrication et la distribution de produits d'hygiène, de papier toilette et de nettoyage en Afrique de l'Est, a reçu un financement du Fonds d'investissement norvégien pour les pays en développement (Norfund) et de la banque I&M pour son usine nouvellement établie à Tatu City. Ce financement de Norfund et de la banque I&M va permettre à Kim-Fay d'étendre ses activités commerciales, avec un accent particulier sur la fourniture de papier toilette à prix abordable pour les marchés à faible revenu. Les investissements seront alloués à la construction d'une nouvelle usine de production de papier recyclé à Tatu City, qui utilisera du papier récupéré localement. On prévoit que la nouvelle installation sera fonctionnelle d'ici 2025.

Comment la RDC peut influencer la forme du marché du cobalt

Des études réalisées en Chine et en République Démocratique du Congo (RDC) montrent que des gouvernements souvent perçus comme marginaux, tels que celui de la RDC, peuvent influencer et parfois déterminer les industries mondiales. Ces conclusions découlent de mois de recherche sur le terrain dans les mines de cobalt artisanales et industrielles de la RDC et sur le développement des infrastructures en Chine. L'analyse des médias locaux et des documents officiels a permis d'évaluer les décisions juridiques et administratives. Il a été observé que le gouvernement de la RDC détient un contrôle significatif, à la fois au niveau national et régional. Les orientations politiques minières adoptées par les dirigeants à Kinshasa ou dans des zones minières telles que Kolwezi ont un impact direct sur les chaînes d'approvisionnement mondiales des batteries.

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