© Revue de presse des médias africains du 14 mars 2025 REVUE DE PRESSE 14 mars 2025

14 mars 2025 - 16:19 - 397vues
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✍ Par Félicité Amaneyâ Râ VINCENT
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AFRIQUE CENTRALE GABON SELON RADIOTAMTAM AFRICA : GABON : RFI et la qualification du général Oligui Nguema : Une ingérence médiatique ou un simple constat ? Depuis la prise du pouvoir par le général Brice Clotaire Oligui Nguema au Gabon en août 2023, une question revient dans les débats politiques et médiatiques : Pourquoi RFI et d’autres médias internationaux le qualifient-ils systématiquement de "président de la transition" ?
Cette appellation est-elle une simple reconnaissance factuelle de la situation politique actuelle ou une forme d’ingérence dans les affaires internes du Gabon ? Plus encore, alors que les élections présidentielles de 2025 approchent, certains s’interrogent : les médias internationaux influencent-ils déjà l’issue du scrutin en façonnant la perception du futur dirigeant gabonais ?
Décryptage d’une controverse qui soulève des questions sur le rôle des médias, la souveraineté du Gabon et l’équilibre de l’information en période électorale.
« Président de la transition » : Une reconnaissance institutionnelle, pas une légitimation
Le 30 août 2023, à la suite d’un coup d’État militaire renversant Ali Bongo Ondimba, le général Oligui Nguema a été officiellement désigné comme chef de la transition par le Comité pour la transition et la restauration des institutions (CTRI).
Le 4 septembre 2023, il a prêté serment devant la Cour constitutionnelle en tant que président de la transition, avec l’engagement d’organiser de nouvelles élections présidentielles.
Dès lors, les médias internationaux, y compris RFI, France 24, BBC et d’autres, ont adopté cette terminologie pour désigner le général Oligui Nguema, en conformité avec son statut actuel.
Il ne s’agit donc pas d’une reconnaissance d’une présidence définitive ni d’une tentative de légitimer son pouvoir au-delà de la transition, mais simplement d’un constat institutionnel.
Cependant, dans un contexte où l’influence des médias internationaux est perçue comme un facteur déterminant dans l’opinion publique, cette désignation soulève des interrogations.
RFI et les médias internationaux : Une influence sur la perception politique ?
La question de l’influence médiatique sur les processus électoraux en Afrique n’est pas nouvelle. L’histoire récente du continent montre que certains médias internationaux peuvent orienter le narratif politique, en mettant en avant certains leaders au détriment d’autres, ou en interprétant les faits selon des prismes qui ne reflètent pas toujours les réalités locales.
Dans le cas du Gabon, la transition menée par le général Oligui Nguema est censée aboutir à des élections démocratiques, où le peuple sera seul juge du futur président.
Mais avant même l’ouverture officielle de la campagne, les médias de grande écoute façonnent déjà la perception des candidats potentiels.
Le fait de qualifier systématiquement le général Oligui Nguema de "président de la transition" pourrait indirectement suggérer une continuité légitime du pouvoir, influençant ainsi l’opinion publique.
D’autres candidats ne bénéficient pas d’une visibilité médiatique équivalente sur la scène internationale, ce qui peut créer un déséquilibre d’exposition.
Le rôle des médias africains dans ce débat reste encore marginal, laissant le narratif aux mains des médias occidentaux.
Faut-il alors craindre une manipulation subtile de l’opinion publique gabonaise par les médias internationaux ?
Une vigilance nécessaire en période électorale
Alors que le Gabon se prépare pour les élections présidentielles de 2025, il est impératif que les médias – qu’ils soient locaux ou internationaux – respectent le principe d’impartialité et d’équilibre dans leur couverture.
Le peuple gabonais doit être le seul arbitre de son destin.
✅ Il appartient aux autorités de transition de garantir un scrutin libre, transparent et crédible.
✅ Il est du devoir des médias nationaux de s’imposer comme des acteurs incontournables du débat politique, pour éviter que la narration électorale soit exclusivement dominée par des sources extérieures.
✅ Les citoyens gabonais doivent aussi jouer leur rôle, en s’informant de manière diversifiée et en analysant les discours médiatiques avec esprit critique.
Le danger n’est pas tant dans le choix des mots des médias internationaux, mais dans l’impact que cela peut avoir sur la légitimité des candidats et sur le processus démocratique lui-même
Conclusion : Une information sous surveillance
Qualifier le général Oligui Nguema de "président de la transition" est une réalité institutionnelle, mais le contexte électoral du Gabon exige une vigilance accrue sur la manière dont l’information est traitée et diffusée.
L’ingérence médiatique n’est pas toujours directe, elle peut être subtile, influençant les perceptions, les narrations et, in fine, les choix des électeurs.
En cette période charnière, il est essentiel que les Gabonais prennent le contrôle du discours national et veillent à ce que leur souveraineté politique ne soit pas influencée par des narratifs extérieurs.
L’élection ne doit pas être prédéfinie par les médias, mais par le peuple lui-même.
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AFRIQUE DE L’EST SOUDAN SELON RFI : Soudan: le Conseil de sécurité de l’ONU pointe les violences sexuelles sur les enfants. Après deux ans de conflit, le Soudan présente désormais la plus grande et la plus dévastatrice des crises humanitaires au monde. C’est ce que le Conseil de sécurité des Nations unies a évoqué jeudi 13 mars à New York. Plus de 30 millions de personnes auront besoin d’assistance humanitaire, et la moitié d’entre eux sont des enfants. Ils sont menacés par la famine, les vagues de contagions de maladies infantiles et de plus en plus, par les violences sexuelles des miliciens. Le milieu humanitaire dénonce que le conflit tombe dans l’oubli et que la communauté internationale ne se sente pas plus concernée. La voix de Catherine Russell, directrice de l’Unicef, s’est étranglée à la table du Conseil de sécurité de l’ONU, lorsqu’elle a dû égrener les âges des fillettes et garçons soudanais soumis aux violences sexuelles d’hommes armés et masqués, une arme psychologique de plus en plus utilisée pour terrifier la population. 221 cas de viols ont été recensés en 2024 au Soudan, certainement loin du chiffre total réel, mais une fraction de victimes ont moins de 5 ans, quatre sont des bébés de moins d’un an.
AFRIQUE CENTRALE RDCONGO SELON RADIO OKAPI : RDC : situation préoccupante dans la région de Kashebere et Nyabiondo. La situation reste tendue ce jeudi 13 mars dans la région de Nyabiondo, Kashebere et Kibati, située à cheval entre les territoires de Masisi et Walikale au Nord-Kivu. Les rebelles du M23/AFC ont occupé la cité de Kashebere mercredi soir, après avoir pris le contrôle de Nyabiondo la semaine précédente. L’occupation de Kashebere expose considérablement le chef-lieu de Walikale, bien qu’il soit situé à environ une centaine de kilomètres de là, selon les acteurs locaux. Si les rebelles s’emparent de Walikale-centre, ils ne tarderont pas à atteindre Kisangani, qui reste dans leur ligne de mire, estiment plusieurs observateurs. Les rebelles du M23/AFC sont arrivés mercredi à Kashebere, chef-lieu du groupement Luberike, à une quarantaine de kilomètres de Masisi-centre. Ils ont même organisé un rassemblement dans la cité. Cependant, plusieurs sources rapportent que des renforts de Wazalendo et des FARDC, en provenance de Pinga, seraient en route pour tenter de reprendre Nyabiondo. Des échanges de tirs ont été signalés jeudi 13 mars au matin, aux environs de Nyabiondo. Les habitants, qui tentent de regagner leurs domiciles à Nyabiondo, sont contraints de repartir encore en direction de la brousse, tandis que d’autres se dirigent vers le centre de santé de Nyabiondo. Cette progression des rebelles dans le territoire de Walikale inquiète vivement la population.
AFRIQUE CENTRALE ENCORE RDCONGO SELON LE MONDE : Dans l’est de la RDC, la flambée des cours du cacao nourrit les violences. Les massacres commis par les rebelles des Forces démocratiques alliées (ADF) ont fait des milliers de morts et empêché pendant plusieurs années les cultivateurs de cacao d’accéder à leurs plantations…Dans cette région particulièrement fertile, les produits agricoles attirent les convoitises de divers groupes armés qui nourrissent des réseaux de contrebande vers l’Ouganda voisin, selon les acteurs de la filière…Avant même l’émergence des ADF, dans les années 2000, la région était déjà en proie aux attaques des sangabalende, des groupes criminels spécialisés dans le vol et la contrebande de cacao, explique Richard Kirumba, représentant de la société civile du territoire de Beni. Selon lui, certains militaires déployés contre les ADF taxent aussi les commerçants ou pillent les champs. Le cacao volé est généralement écoulé à travers des réseaux de contrebande transfrontalière… Les contrôles sont peu scrupuleux dans un pays où, selon Transparency International, la corruption est endémique et seuls les imprudents risquent des ennuis…Depuis la fin de 2021, la RDC a autorisé la présence dans la région de troupes ougandaises pour épauler son armée contre les ADF, qui sont d’origine ougandaise. Cette présence militaire a permis de sécuriser des axes commerciaux vitaux et d’augmenter les exportations, selon l’Onapac. Mais ce rapprochement avec Kampala suscite également des craintes. « Les acheteurs ougandais déstabilisent le secteur : ils viennent monnaie en main et imposent leurs prix aux producteurs, déplore la directrice de l’Onapac à Beni. Ils ne regardent pas la qualité, prennent le tout et exportent sous label ougandais. Cela handicape l’économie du pays. »
AFRIQUE DE L’EST ETHIOPIE SELON LE MONDE : Ethiopie : l’Union africaine se dit « profondément inquiète » de la situation au Tigré. L’Union africaine (UA) a exprimé, vendredi 14 mars, sa « profonde inquiétude » en raison de la détérioration de la situation dans la région du Tigré, dans le nord de l’Ethiopie, où des affrontements opposent deux factions du parti au pouvoir et menacent un fragile accord de paix. Le Tigré a été le théâtre, entre novembre 2020 et novembre 2022, de l’un des conflits les plus violents des dernières décennies entre les forces fédérales, appuyées par des milices locales et l’armée érythréenne, et les rebelles tigréens. Cette guerre a entraîné la mort d’au moins 600 000 personnes dans cette région de quelque 6 millions d’habitants, selon l’UA. Les armes se sont finalement tues après un accord de paix signé le 2 novembre 2022 à Pretoria, en Afrique du Sud. Mais, depuis plusieurs mois, des retards sur la mise en œuvre de l’accord nourrissent des tensions croissantes au sein du FPLT, le parti qui gouverne la région après avoir été autrefois hégémonique en Ethiopie. Un haut cadre du parti, Getachew Reda, placé à la tête d’une administration intérimaire par les autorités fédérales, s’oppose au numéro un du FPLT, Debretsion Gebremichael. Mardi, des hommes en armes proches de M. Debretsion ont pris le contrôle d’Adigrat, deuxième ville du pays, proche de l’Erythrée. L’UA a « vivement encouragé les parties à respecter les obligations inscrites » dans l’accord de Pretoria.
AFRIQUE DE L’OUEST NIGERIA SELON SAHEL INTELLIGENCE : Nigeria : Les défis sécuritaires au cœur de la 43ème réunion des Chefs d’Etat-major de la CEDEAO. La situation sécuritaire en Afrique de l’Ouest, notamment face à la montée du terrorisme, est au centre des discussions lors de la 43ème réunion ordinaire des Chefs d’Etat-major des armées des pays membres de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), qui se tient à Abuja. Ce comité se réunit pendant trois jours afin d’examiner les implications sécuritaires liées aux récents retraits du Burkina Faso, du Mali et du Niger de la CEDEAO, selon un communiqué de l’organisation régionale. Au programme de cette rencontre, figurent des échanges sur les défis sécuritaires découlant de ces départs ainsi que sur les engagements en cours concernant la Brigade antiterroriste de la Force en attente de la CEDEAO. Les représentants se pencheront également sur les missions de la CEDEAO en Gambie et en Guinée-Bissau, visant à soutenir la stabilisation dans ces pays.
AFRIQUE DE L’OUEST BENIN SELON LE MONDE : Au Bénin, Patrice Talon assure qu’il ne sera « pas candidat » à un troisième mandat présidentiel en 2026. Le président béninois, Patrice Talon, a affirmé vendredi 14 mars qu’il ne serait « pas candidat » à un troisième mandat, interdit par la Constitution, tout en affirmant rester « attentif » quant au choix de son successeur. « Une énième fois, je vous le redis : non, je ne serai pas candidat », a-t-il déclaré dans un entretien à Jeune Afrique : « Cette question m’agace. J’ai moi-même renforcé la Constitution pour stipuler que nul ne pourra exercer plus de deux mandats dans sa vie. » Patrice Talon est à la tête du Bénin depuis 2016 et arrivera, en 2026, au terme de son second mandat. La question de sa succession a été relancée en septembre 2024, lorsqu’un de ses amis intimes, Olivier Boko, a été arrêté pour tentative de coup d’Etat avec l’ancien ministre des sports Oswald Homeky. Les deux hommes ont été condamnés en janvier à vingt ans de prison, notamment pour « complot contre l’autorité de l’Etat »…Patrice Talon déplore également les relations « dégradées » avec ses voisins sahéliens du Niger et du Burkina Faso et l’absence de coopération sécuritaire, qui rendent difficiles, selon lui, la lutte contre le terrorisme.
AFRIQUE CENTRALE GABON SELON RFI : Présidentielle au Gabon: 13 candidats recalés déposent un recours à la Cour constitutionnelle. Au Gabon, les candidats à l’élection présidentielle du 12 avril dont les dossiers ont été rejetés par le ministère de l’Intérieur ont déposé un recours à la Cour constitutionnelle. Sur 19 recalés, 13 seulement ont introduit ce recours, 6 se sont désistés. La Cour constitutionnelle a huit jours pour rendre sa décision. Dans une semaine, on saura s’il y aura de nouveaux candidats qui complèteront la liste de quatre premiers candidats validés par le ministère de l’Intérieur : Alain-Claude Bilie-By-Nze, Brice Clotaire Oligui Nguema, Stephane Iloko et Joseph Lapensée Essingone. Parmi les 13 candidats qui ont introduit un recours pour la présidentielle au Gabon, il y a le syndicaliste Jean-Rémy Yama. Son cas a ému les Gabonais parce qu’il a avoué ne pas avoir retrouvé l’acte de naissance de son père, né en 1920 et mort très jeune. Jean-Rémy Yama a finalement en sa possession l’acte de naissance de sa mère.
AFRIQUE DE L’OUEST NIGER SELON RFI : Niger: l’ancien ministre du Pétrole, Moustapha Barké enlevé depuis deux mois
Dans la nuit du 13 au 14 janvier 2025, des hommes en civil se présentent au domicile de Moustapha Barké. Ils fouillent, posent des questions, avant d’emmener l’ancien ministre du Pétrole vers une destination inconnue. Depuis, il n’est plus réapparu. Où se trouve-t-il actuellement ? quels sont les faits qui pourraient lui être reprochés ? À ce jour, aucun des contacts que nous avons joints n’a pu apporter de réponse à ces questions. Membre du parti Moden Fa Lumana de l’opposant Hama Amoudou, Moustapha Barké en était le directeur de campagne pour les élections de 2021. Proche de l’actuel Premier ministre, Ali Mahaman Lamine Zeine. Il est entré au gouvernement formé après le coup d’État de juillet 2023 à la tête du superministère de l’Énergie, des mines et du pétrole. Ses prérogatives sont par la suite réduites, il conserve le portefeuille du pétrole avant d’être limogé un an plus tard, en août 2024.
AFRIQUE DU NORD TUNISIE SELON LE MONDE : En Tunisie, Mourad Zeghidi, journaliste, détenu depuis plus de 300 jours : « Je n’ai fait que mon métier ». Plus de 300 jours se sont écoulés depuis l’arrestation, le 11 mai 2024 en Tunisie, du journaliste sportif Mourad Zeghidi, ancien de Canal Horizons en Tunisie puis de Canal+ en France. Alors que ses proches et soutiens attendaient sa libération en janvier, au terme de sa peine, de nouvelles accusations ont prolongé son incarcération. En réponse à ce placement en détention provisoire, ses défenseurs ont intensifié leur campagne pour sa libération, dénonçant un acharnement judiciaire contre les voix critiques en Tunisie. Une pétition, lancée le 8 mars, a déjà recueilli près de 5 000 signatures…Selon des documents judiciaires consultés par Le Monde, les accusations formulées à l’encontre de M. Zeghidi reposent essentiellement sur ses analyses de la situation politique du pays. Il lui est notamment reproché d’avoir critiqué certaines décisions du président Kaïs Saïed et remis en cause la légitimité des élus locaux après un scrutin caractérisé par une abstention massive.
C’est la fin de notre Revue de presse
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✍ Par Félicité Amaneyâ Râ VINCENT
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