radiotamtam.org/ads.txt. google.com, google.com,google.com, pub-3931649406349689, DIRECT, f08c47fec0942fa0/ ===

Introduction à la ©Revue de Presse Afrique du 23 septembre 2024, présentée par Félicité Amaneyâ Râ VINCENT. REVUE DE PRESSE 23 septembre 2024

23 septembre 2024 à 16h04 - 360 vues

Par Félicité VINCENT

 Bonjour, Bienvenue dans cette nouvelle édition de la ©Revue de Presse Afrique. Ce 23 septembre 2024, nous lançons une nouvelle saison avec un format innovant et dynamique, toujours focalisé sur les enjeux essentiels qui façonnent notre continent. Chaque jour, nous examinons les principaux titres de l’actualité africaine, qu'ils concernent l'économie, la politique ou la culture, et nous analysons les défis et les opportunités pour l'Afrique actuelle et future.

Restez avec nous pour une couverture complète des sujets les plus pertinents, analysés par Félicité Amaneyâ Râ VINCENT. Ce soir, à 19h00, ne manquez pas le résumé de l'actualité en direct en streaming vidéo. Votre soutien est essentiel, et pour y contribuer, nous vous invitons à scanner le QR code afin de nous aider à pérenniser ce projet. Likez et partagez !

Nous traiterons un sujet crucial pour le Gabon : la situation politique et sociale actuelle. Par une analyse détaillée, nous examinerons les récents développements et les défis futurs pour le pays. Suivez ce décryptage fondamental des événements actuels !

GABON : Le 18 septembre 2024, la Coalition pour la Nouvelle République (CNR) a organisé une conférence de presse pour exprimer fermement son opposition au projet de constitution présenté devant le Parlement de Transition. Sous la direction de son président, Vincent Moulingui Bokosso, la CNR a exprimé ses préoccupations quant aux répercussions potentielles de ce document sur l'unité et la stabilité institutionnelle du Gabon.

Le président Moulingui Bokosso a débuté son allocution en soulignant que le prochain référendum devrait se focaliser uniquement sur l'adoption de la nouvelle constitution, plutôt que sur l'approbation ou le rejet des actions du Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI) ou de son président, le général Brice Clotaire Oligui Nguema. La CNR a critiqué ce qu'elle considère comme une « précampagne illégale » ayant pour but de détourner le scrutin en un vote de confiance ou de défiance envers le leader de la Transition.

La Constitution est le socle de l'identité nationale. Pour la CNR, elle représente « l'acte fondateur qui permet à une société de se doter d'une identité et de déterminer son organisation sociale. » Ce point crucial met en évidence que la Constitution va au-delà d'un simple document législatif ; elle est le fondement qui assure les libertés essentielles et la défense des droits des citoyens. La coalition estime qu'une constitution doit établir explicitement la structure de l'État, le système politique choisi par la nation et préserver la séparation des pouvoirs.

Le projet en débat, surnommé « constitution transgenre », se distingue des modèles traditionnels tels que le régime présidentiel, parlementaire ou semi-présidentiel, suscitant ainsi de profondes préoccupations. Selon la CNR, ce document composite contiendrait de nombreuses « curiosités juridiques », menant à une interrogation cruciale : les auteurs de ce projet ont-ils réellement considéré l'intérêt général du peuple gabonais ? La manière de poser cette question révèle la suspicion que le document favorise plutôt des intérêts particuliers au détriment de l'intérêt national.

Onze incongruités relevées

La CNR a relevé onze incohérences majeures dans le projet de constitution. Parmi les plus alarmantes figure la fonction de l'Assemblée constituante qui, d'après la CNR, ne devrait pas être limitée à un rôle consultatif mais devrait jouer un rôle central dans la rédaction de la constitution. Le président Bokosso estime que minimiser son rôle à de simples consultations met en péril la crédibilité et la légitimité de l'ensemble du processus constitutionnel.

De plus, la CNR critique la concentration excessive des pouvoirs dans les mains du président de la République, ce qui pourrait diminuer l'efficacité des mécanismes de contrôle tels que le Parlement et le système judiciaire. Dans le cadre de ce système, le président a le pouvoir de dissoudre l'Assemblée nationale, tandis que cette dernière ne peut pas le destituer, ce qui conduit à un hyper-présidentialisme considéré par la coalition comme dangereux.

Un autre argument significatif porte sur la classification des citoyens gabonais. Le projet de loi propose une distinction discriminatoire basée sur l'origine, créant des catégories de « Gabonais à part entière » et de « demi Gabonais ». Selon la CNR, cette mesure romprait l'unité nationale et diminuerait le sentiment d'appartenance à une nation unifiée. Ils affirment que requérir qu'un candidat présidentiel soit Gabonais de naissance, de père et mère gabonais, équivaut à une profanation de la mémoire des fondateurs de la nation.

Dans sa déclaration finale, la CNR appelle les autorités à démontrer du patriotisme et de la responsabilité. Selon la coalition, une constitution se doit d'être « intemporelle, impersonnelle et non discriminatoire », transcendant ainsi les intérêts personnels et les manœuvres politiques. En s'adressant à l'opinion publique nationale et internationale, Vincent Moulingui Bokosso lance un appel à la prise de conscience collective afin d'empêcher le Gabon de retomber dans les travers politiques du passé, caractérisés par la domination d'un seul individu et l'affaiblissement des institutions.

AFRIQUE CENTRALE TCHAD SELON LE MONDE : Au Tchad, un parti d’opposition dénonce « l’enlèvement » de son secrétaire général. Le secrétaire général du Parti socialiste sans frontières (PSF), Robert Gam, a été « enlevé » vendredi 20 septembre, a déclaré samedi dans un communiqué transmis à l’Agence France-Presse (AFP) un cadre du parti tchadien, dont le président et candidat à la présidentielle, Yaya Dillo, a été « assassiné » en février d’après la formation. « Après la visite politique des camarades du parti Les Patriotes au siège du PSF, le secrétaire général Robert Gam est porté disparu », écrit Mahamat Alifa Yousouf, le coordinateur général du parti. « Il fait l’objet de harcèlement et d’intimidations depuis l’assassinat odieux » du président Yaya Dillo « par la junte militaire », poursuit le texte… Yaya Dillo, président du PSF, cousin du président tchadien Mahamat Idriss Déby Itno et pressenti comme son plus dangereux rival politique pour le scrutin présidentiel, a été tué le 28 février par des militaires de la garde présidentielle dans l’assaut du siège de son parti deux mois avant l’élection. Il a été « assassiné » selon l’opposition, d’une « balle à bout portant dans la tête » selon le PSF. Le pouvoir militaire a nié « toute exécution », invoquant la nécessité d’appréhender M. Dillo, suspecté d’avoir mené une « attaque » contre les services de renseignement et tenté de faire libérer un responsable de son parti arrêté. Une vingtaine de proches de Yaya Dillo ont été interpellés le jour de sa mort et sont toujours « détenus au secret » selon Amnesty International.

 

AFRIQUE CENTRALE ENCORE LE TCHAD SELON VOAAFRIQUE : Inondations au Tchad : 503 morts et plus d’1,7 million de personnes affectées depuis juillet. Les pluies diluviennes au Tchad depuis le mois de juillet ont fait 503 morts et affecté plus de 1,7 million de personnes, selon un bilan transmis à l’AFP samedi par le Bureau des Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires (Ocha) au Tchad. Selon ce nouveau bilan « 117 départements sur 125 sont touchés » dans lesquels 212.111 maisons et 357.832 hectares de champs ont été détruits. Et 69.659 têtes de bétail ont été emportées. « Ces pluies ont provoqué des inondations sévères qui ont touché l’ensemble des provinces du pays, entraîné des pertes en vie humaine mais aussi des dégâts matériels et en cheptels considérables », avait annoncé Marcelin Kanabé Passalé, le ministre de l’Eau et de l’Energie à l’occasion d’un point presse samedi matin sans donner de chiffres précis. Le ministre de tutelle avait également annoncé la mise en place d’un comité de suivi des inondations, afin d' »évaluer les risques liés à la pollution des sources d’approvisionnement en eau potable et à la montée des niveaux des fleuves ». « Il a été observé que les eaux du fleuve Logone et du fleuve Chari ont atteint une hauteur critique susceptibles de provoquer des inondations fluviales évidentes dans les jours à venir », toujours selon le ministre.

 

AFRIQUE DE L’EST SOUDAN SELON LE MONDE : Guerre au Soudan : au Darfour, la ville d’El-Fasher ravagée par les combats. Depuis des mois, le sort d’El-Fasher inquiète la communauté internationale. Dans la métropole de 2 millions d’habitants, seule capitale des cinq Etats du Darfour à ne pas être aux mains des paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR), des « centaines de milliers de civils » sont menacés par des violences « de masse », a alerté l’ONU mercredi. « J’appelle les belligérants […] à retirer leurs forces, à faciliter l’accès humanitaire et à réengager des négociations pour mettre fin à cette guerre », plaidait déjà, la veille, le président américain, Joe Biden. Sur le terrain, les projectiles s’abattent toujours sur les maisons des civils, dernier épisode sanglant du conflit qui oppose l’armée du général Abdel Fattah Al-Bourhane et les paramilitaires dirigés par son ancien adjoint, Mohammed Hamdan Daglo. « La plupart de nos maisons dans le sud de la ville ont été complètement détruites », rapporte Al-Tijani Othman, joint au téléphone par l’Agence France-Presse (AFP) de son quartier d’El-Fasher. « Il n’y a quasiment plus personne ici », dit-il, précisant que les habitants sont surtout occupés à inspecter les dommages infligés à leurs domiciles par les combats. Pour la seule journée de samedi, les autorités sanitaires ont recensé la mort de quatorze civils dans les combats et 40 blessés, a annoncé à l’AFP une source médicale. « Mais ce n’est qu’une fraction du nombre réel de victimes, a-t-elle reconnu. Souvent, les gens doivent enterrer leurs proches sur place plutôt que de braver les combats pour tenter de les transporter à l’hôpital. »

 

AFRIQUE DE L’EST OUGANDA SELON LE MONDE : Présidentielle en Ouganda : le fils de Yoweri Museveni se ravise et annonce soutenir son père, au pouvoir depuis 1986. Le fils du président ougandais Yoweri Museveni, qui avait affirmé qu’il serait candidat à la présidentielle de 2026, s’est ravisé et a déclaré samedi 21 septembre qu’il ne se présenterait pas et qu’il soutiendrait son père, au pouvoir depuis 1986. Ce dernier, l’un des plus anciens dirigeants au pouvoir en Afrique, aujourd’hui âgé de 80 ans, n’a pas annoncé officiellement son intention de briguer un septième mandat. « Je voudrais annoncer que je ne serai pas sur le bulletin de vote en 2026. Dieu Tout-Puissant m’a dit de me concentrer d’abord sur Son Armée. Je soutiens donc pleinement le président Yoweri Museveni lors des prochaines élections », a écrit Muhoozi Kainerugaba, chef des forces armées ougandaises (UPDF), dans un message posté sur X. Considéré par beaucoup d’Ougandais comme le successeur désigné de son père, le général de 50 ans a ajouté : « Aucun civil ne dirigera l’Ouganda après le président Museveni. Les forces de sécurité ne le permettront pas. Le prochain dirigeant sera un soldat ou un policier. »…Unique fils du président Museveni (qui a également trois filles), réputé pour ses déclarations polémiques sur les réseaux sociaux, Muhoozi Kainerugaba a connu une ascension météorique dans l’armée, après avoir suivi à l’étranger des formations de commandement militaire, notamment dans la prestigieuse Académie royale britannique de Sandhurst. Ancien commandant des forces spéciales ougandaises, promu général de division en 2016, il a été nommé chef des armées en mars par son père. Yoweri Museveni tient l’Ouganda d’une main de fer depuis qu’il a renversé le président Milton Obote en 1986.

 

AFRIQUE DE L’OUEST GHANA SELON RFI : Ghana: arrestation de plusieurs dizaines de militants de la société civile lors d’une manifestation à Accra. Au moins une trentaine de manifestants ont été interpellés dans la capitale ghanéenne, dimanche 22 septembre, à l’occasion d’un rassemblement pour dénoncer l’inaction et la corruption du gouvernement face à l’orpaillage illégal. Ses organisateurs dénoncent une grave entrave à la liberté de manifester. Plusieurs dizaines de manifestants et de membres de la société civile ont été arrêtés dimanche 22 septembre lors d’une manifestation à Accra, la capitale du Ghana. Avec pour principal slogan « Dites non au Galamsey », ce rassemblement, qui avait commencé la veille, visait à dénoncer l’inaction et la corruption du gouvernement face aux mines d’or illégales, selon l’ONG Democracy Hub. Les premières interpellations ont eu lieu dans la matinée à une intersection routière d’Accra qu’un groupe de plusieurs dizaines de manifestants a tenté de bloquer. Pour Grace Ansah-Akrofi, directrice de la communication de la police ghanéenne, elles sont pleinement justifiées compte tenu du caractère illégal du rassemblement : « Samedi, nous avions de nouveau alerté les organisateurs de la manifestation. Nous leur avions demandé de reconsidérer les sept sites que la police leur proposait pour manifester en leur expliquant que le lendemain, nous allions nous assurer que le trafic routier resterait fluide et ne serait pas interrompu », explique-t-elle. Dans l’après-midi, une vingtaine de manifestants ont ensuite décidé de revenir sur les lieux…Au total, 42 manifestants ont été interpellés durant cette journée selon la police. Les organisateurs de la mobilisation, qui dénoncent une grave entrave à la liberté de manifester, évoquent de leur côté le chiffre de 32 arrestations, dont celle d’une enfant de huit ans. Quant à Democracy Hub, elle accuse la police d’empêcher les manifestants d’avoir accès à un avocat.

 

AFRIQUE DE L’OUEST ENCORE LE GHANA SELON VOAAFRIQUE : Treize candidatures validées pour la présidentielle ghanéenne du 7 décembre. Treize candidats pourront se présenter à la présidentielle prévue le 7 décembre au Ghana au cours de laquelle les électeurs seront appelés à choisir un successeur au président Nana Akufo-Addo, a annoncé vendredi la Commission électorale. Les deux favoris du scrutin, le vice-président Mahamudu Bawumia du Nouveau parti patriotique (NPP) au pouvoir et le chef de l’opposition John Mahama du parti Congrès national démocratique (NDC), font partie de ces candidats. La course à la présidentielle s’annonce très serrée entre ces deux candidats, tous deux originaires du nord du Ghana, une première dans l’histoire politique du pays. Au final, la commission a validé les candidatures de neuf personnes issues de partis et de quatre indépendants, après « un examen approfondi des formulaires de candidature soumis par les candidats pour assurer le respect des exigences énoncées par la loi ». Parmi les candidats indépendants figurent Alan Kyerematen, l’ancien ministre du Commerce qui a quitté le NPP après des conflits internes, et le jeune entrepreneur Nana Kwame Bediako, qui promet un programme panafricain porté par la jeunesse du pays. Sur les 24 postulants à la présidentielle, onze ont été disqualifiés, a déclaré la Commission. Les débats de la campagne présidentielle se concentrent sur les réformes à mener pour sortir le Ghana de la crise économique qui touche le pays depuis quelques années, la pire depuis des décennies, marquée notamment par une inflation galopante.

 

AFRIQUE DE L’OUEST GUINEE SELON RFI : Guinée: le débat sur la possible participation du général Doumbouya à la présidentielle s’installe. En Guinée, l’actualité de ce week-end est politique, avec une question qui revient sans cesse dans les débats : le général Doumbouya, leader du pays depuis trois ans, pourra-t-il, s’il le décide, participer à l’élection présidentielle prévue en 2025 ? Alors que la charte de la transition l’interdit, des cadres de la junte et du gouvernement estiment cette possibilité envisageable. Ces multiples déclarations sont fustigées par des leaders de l’opposition. Ces derniers demandent au général Doumbouya de clarifier sa position. « Si Doumbouya est candidat, ce n’est pas la peine de faire des élections », déclaration très franche de Kalémodou Yansané, vice-président de l’Union des forces démocratiques de Guinée (UFDG), ce samedi 21 septembre, lors de l’Assemblée hebdomadaire du parti. Lors de sa prise de parole, l’opposant a néanmoins mis les formes : « Nous demandons humblement au président Mamadi Doumbouya d’avoir le courage – comme il l’a souvent affirmé – de ne pas hésiter à déclarer clairement s’il entend se présenter ou non à l’élection présidentielle. Cette transparence est essentielle pour clarifier la voie à suivre », a-t-il déclaré. L’UFDG a donc réagi rapidement et répondu aux perches lancées, ces derniers jours, par des cadres de la junte et des membres du gouvernement.

 

AFRIQUE DE L’EST KENYA SELON VOAAFRIQUE : Au Kenya, libération de trois manifestants retenus depuis un mois, selon des ONG. Trois manifestants qui avaient disparu le 19 août près de Nairobi sur fond de répression d’un mouvement de jeunesse ont été libérés, ont annoncé vendredi deux organisations de défenses des droits, qui accusent la police kényane. Ces trois hommes avaient participé à des rassemblements dénonçant les disparitions durant les manifestations antigouvernementales de juin, un mouvement d’une ampleur inédite ces dernières décennies au Kenya, selon ces organisations. Nos partenaires « ont confirmé qu’ils sont libres, ils sont en vie », a déclaré à l’AFP Cornelius Oduor, directeur adjoint de la Commission kényane des droits humains (KHRC). La Law Society of Kenya (LSK), principale association d’avocats du pays, qui a déposé plainte au sujet de cette disparition après avoir réuni des témoignages, a également confirmé leur remise en liberté dans la nuit. Les trois hommes avaient disparu dans la localité de Kitengela, à une trentaine de kilomètres au sud de Nairobi. Interrogé au sujet de vidéos circulant sur les réseaux sociaux où deux d’entre eux apparaissent hagards, M. Oduor a affirmé que ces images « montrent clairement que les hommes sont dans un état de détresse ». « Cela souligne le fait qu’ils étaient en captivité », a-t-il dit. Le lieu où Bob Njagi, Aslam Longton et son frère Jamil Longton ont été retenus pendant un mois n’a pas encore été établi. « Nous sommes convaincus qu’ils ont été emmenés par des officiers de sécurité du Kenya », a réagi M. Oduor. Selon la LSK, les deux frères ont été relâchés au nord de Nairobi, tandis que M. Njagi s’est présenté au commissariat de Tigoni, également au nord de la capitale, selon la LSK.

AFRIQUE CENTRALE CAMEROUN SELON RFI : Cameroun: l’opposant Cabral Libii officialise sa volonté de participer à l’élection présidentielle. Au Cameroun, la course à la présidence, prévue en 2025, est lancée. À l’occasion de la sortie de son livre Ce que j’ai vu : Manifeste de la rupture et du progrès, l’opposant Cabral Libii a officialisé sa volonté de participer à l’élection présidentielle. Arrivé en troisième position, lors du scrutin en 2018, le député Cabral Libii est aussi président du Parti camerounais pour la réconciliation nationale (PCRN). Il vient de terminer une longue tournée dans tout le pays pour entendre les électeurs et leur proposer – c’est le but de son manifeste – des solutions. Joint par RFI, l’opposant Cabral Libii nous donne des précisions. « La publication de ce manifeste de la rupture et du progrès, dit-il, marque mon intention de briguer la magistrature suprême au Cameroun. Je propose donc au peuple camerounais un contrat social nouveau : le Cameroun qui protège et qui libère les énergies. »…« Le programme va se jouer d’abord sur la démocratie, lance Cabral Libii. Le pays étouffe, c’est une chose que j’ai entendue. Et l’autre chose, c’est que les Camerounais souffrent énormément. Les Camerounais attendent un État qui puisse construire un hôpital. Les Camerounais attendent un État qui puisse former leurs enfants pour qu’ils soient aptes à œuvrer plus tard pour le redressement de leur pays et occuper la place que le Cameroun mérite dans le monde. Les Camerounais attendent un État qui les protège et qui leur donne la possibilité de faire éclore leurs talents».

 

AFRIQUE OCEAN INDIEN MADAGASCAR SELON RFI : Municipales à Madagascar: la justice rejette le recours de Marc Ravalomanana. À son tour, le tribunal administratif d’Anosy a rejeté, dimanche 22 septembre, la requête déposée par le parti de l’ancien président pour lui permettre de briguer la mairie d’Antananarivo lors des élections municipales du 11 décembre. Le TIM avait saisi la justice après le rejet du dossier de Marc Ravalomanana devant la Céni en raison des dettes fiscales qui lui sont imputées. L’étau se resserre encore autour de l’ancien président malgache Marc Ravalomanana, qui se voit opposer un refus de plus à sa candidature à la mairie d’Antananarivo. Après le rejet de son dossier par la Commission électorale nationale indépendante (Céni), mercredi 18 septembre, en raison des dettes fiscales qui lui sont attribuées, la justice a, à son tour rejeté, dimanche 22 septembre, la requête qu’avait immédiatement déposée son parti, le « Tiako I Madagasikara » (TIM), devant le tribunal administratif pour lui permettre de se présenter, le 11 décembre prochain, aux élections municipales et communales. Sans détailler les motifs de leur décision, les juges ont donc soutenu la position de la Céni et, in fine, celle de la Direction générale des impôts qui réclame à Marc Ravalomanana 125 milliards d’ariary – l’équivalent de 25 millions d’euros. La somme concerne des impayés de son ex-société Tiko au titre de l’année 2009. Autrefois fleuron de l’agroalimentaire malgache, elle avait été détruite lors de la crise politique qui a touché Madagascar cette année-là.

Chers auditeurs et lecteurs,

Notre émission du jour s'achève ici. Nous espérons que notre panorama a éclairé votre compréhension des enjeux contemporains de l'Afrique. Restez à l'écoute pour nos futures émissions qui continueront de vous apporter les informations et analyses récentes des médias africains.

Merci de votre fidélité. N'oubliez pas de suivre nos réseaux sociaux pour des mises à jour instantanées. RADIOTAMTAM AFRICA s'engage avec détermination pour l'intérêt général, convaincus qu'une population informée est fondamentale pour une démocratie solide. Fiez-vous à nous pour élucider l'actualité et vous fournir les faits et analyses indispensables.

Votre soutien reste cependant crucial. Nous sollicitons aujourd'hui 100 donateurs pour appuyer notre journalisme indépendant, essentiel à notre mission. Actuellement, chaque euro versé à RADIOTAMTAM AFRICA est doublé, décuplant ainsi l'effet de votre don. Pouvez-vous contribuer dès à présent ?

Un généreux mécène s'engage à égaler chaque euro que vous donnez, doublant de ce fait l'impact de votre aide. Joignez-vous à nous pour perpétuer un journalisme de qualité et des récits fiables. Pouvez-vous nous soutenir ? Amplifiez votre impact : donnez maintenant.

Donnez aujourd'hui et intensifiez votre influence. Votre appui est vital pour que RADIOTAMTAM AFRICA continue de se dévouer à un journalisme de qualité, ancré dans les faits. L'information est certes accessible à tous, mais le journalisme de qualité ne l'est pas toujours. Préservons ensemble une presse indépendante et équitable. Soutenez notre mission sans tarder.

Pour plus d'informations, inscrivez-vous gratuitement à notre bulletin d'information. Nous vous retrouverons bientôt pour une nouvelle édition de la Revue de Presse Afrique. D'ici là, nous vous souhaitons une très bonne soirée 

Chers auditeurs et lecteurs,

Notre émission du jour s'achève ici. Nous espérons que notre panorama a éclairé votre compréhension des enjeux contemporains de l'Afrique. Restez à l'écoute pour nos futures émissions qui continueront de vous apporter les informations et analyses récentes des médias africains

Merci de votre fidélité. N'oubliez pas de suivre nos réseaux sociaux pour des mises à jour instantanées. RADIOTAMTAM AFRICA s'engage avec détermination pour l'intérêt général, convaincus qu'une population informée est fondamentale pour une démocratie solide. Fiez-vous à nous pour élucider l'actualité et vous fournir les faits et analyses indispensables.

Votre soutien reste cependant crucial. Nous sollicitons aujourd'hui 100 donateurs pour appuyer notre journalisme indépendant, essentiel à notre mission. Actuellement, chaque euro versé à RADIOTAMTAM AFRICA est doublé, décuplant ainsi l'effet de votre don. Pouvez-vous contribuer dès à présent ?

Un généreux mécène s'engage à égaler chaque euro que vous donnez, doublant de ce fait l'impact de votre aide. Joignez-vous à nous pour perpétuer un journalisme de qualité et des récits fiables. Pouvez-vous nous soutenir ? Amplifiez votre impact : donnez maintenant.

Donnez aujourd'hui et intensifiez votre influence. Votre appui est vital pour que RADIOTAMTAM AFRICA continue de se dévouer à un journalisme de qualité, ancré dans les faits. L'information est certes accessible à tous, mais le journalisme de qualité ne l'est pas toujours. Préservons ensemble une presse indépendante et équitable. Soutenez notre mission sans tarder.

Pour plus d'informations, inscrivez-vous gratuitement à notre bulletin d'information. Nous vous retrouverons bientôt pour une nouvelle édition de la Revue de Presse Afrique. D'ici là, nous vous souhaitons une très bonne soirée !

Chaque centime compte : Contribuez aujourd'hui

3eme jour gratuit

Commentaires(0)

Connectez-vous pour commenter cet article