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L'ONU a révélé que les rebelles congolais génèrent des revenus mensuels de 300 000 dollars. Actualité Afrique 2050 07 octobre 2024

07 octobre 2024 à 18h32 - 256 vues

Par RADIOTAMTAM AFRICA

Les candidats officiels à l'élection présidentielle au Mozambique sont Daniel Chapo du parti Frelimo, Ossufo Momade du principal parti d'opposition Renamo, Lutero Simango et Venancio Mondlane.

Le Mozambique tiendra des élections présidentielles et législatives le 9 octobre 2024, signalant la fin du mandat du président Filipe Nyusi. Quatre candidats aspirent à sa succession : Daniel Chapo, Ossufo Momade, Venancio Mondlane et Lutero Simango. Chapo, âgé de 47 ans et issu du parti au pouvoir, le Frelimo, est le favori, bénéficiant de la longue prédominance du parti depuis l'indépendance. Ex-gouverneur et juriste, sa candidature est vue comme un rafraîchissement pour le parti. Momade, 63 ans, dirige le principal parti d'opposition, la Renamo. Ancien général, il a conclu un accord de paix avec Nyusi en 2019. Candidat malheureux en 2019, il avait crié à la fraude après sa défaite. Mondlane, 50 ans, jouit d'une popularité chez les jeunes Mozambicains en tant que candidat indépendant, mais il fait face à des défis sans l'appui d'un parti. Simango, 64 ans, préside le Mouvement démocratique du Mozambique (MDM) et est un vétéran du parlement. Il défend une politique de développement, bien qu'il représente une formation moins influente.

SOURCE : REUTERS

La Haute Cour a confirmé la présence de quatre candidats pour la prochaine élection présidentielle au Botswana.

La Cour Suprême du Botswana a validé quatre candidatures pour l'élection présidentielle prévue le 30 octobre 2024. Le président en exercice, Mokgweetsi Masisi, qui sollicite un second et dernier mandat, sera confronté à trois rivaux : Duma Boko, leader de l'Umbrella for Democratic Change (UDC) ; Dumelang Saleshando du Botswana Congress Party (BCP) ; et Mephato Reatile du Botswana Patriotic Front (BPF). La Cour a vérifié que chaque candidat avait satisfait à l'exigence légale de recueillir un nombre minimal de soutiens. Masisi s'est dit confiant dans ses perspectives, incitant ses partisans du Botswana Democratic Party (BDP) à démontrer leur soutien. Parallèlement, Boko a alerté sur le risque de fraude électorale, évoquant les accusations de fraude lors des élections de 2019, que son parti considère comme ayant été truquées par le BDP au pouvoir. Le BCP, ayant quitté l'alliance UDC l'an dernier suite à des désaccords internes, se montre néanmoins optimiste. D'après Mpho Pheko, porte-parole du parti, le BCP est bien préparé et prêt à se mesurer dans les urnes.

SOURCE : VOA NEWS

L'Ouganda a reçu le premier lot de tuyaux pour un projet d'oléoduc pétrolier.

L'Ouganda a accueilli le premier lot de tuyaux revêtus pour le projet d'oléoduc de pétrole brut de l'Afrique de l'Est (EACOP), d'une valeur de 5 milliards de dollars, marquant ainsi la détermination des promoteurs à entamer le projet avec sérieux. Ces tuyaux, acheminés au district de Kyotera depuis une usine de revêtement en Tanzanie, vont permettre à la société China Petroleum Pipeline Engineering Co. Ltd (CPP) de débuter la pose de l'oléoduc. Long de 1 443 kilomètres, cet oléoduc connectera les champs pétrolifères du bassin Albertine en Ouganda au port de Tanga en Tanzanie, avec des premières exportations de pétrole prévues pour la fin de l'année 2025. Ali Ssekatawa, de l'Autorité pétrolière ougandaise, a affirmé que le gouvernement ougandais et les partenaires du projet s'engagent à réaliser ce dernier de manière responsable et écologiquement durable. La portion ougandaise de l'oléoduc sera totalement neutre en carbone, son électricité étant fournie par des sources d'énergie renouvelables. À ce jour, 800 kilomètres de tuyaux ont été revêtus, et les travaux de génie civil avancent sur les stations de pompage et les infrastructures de stockage.

SOURCE : AFRIQUE DE L'EST

La Banque mondiale a accordé au Nigeria un financement de 1,57 milliard de dollars destiné à des projets de développement.


La Banque mondiale a validé un financement de 1,57 milliard de dollars pour trois initiatives au Nigeria, destinées à surmonter les défis dans les domaines de l'éducation, de la santé et de la résilience climatique. Le programme HOPE-GOV bénéficiera de 500 millions de dollars pour renforcer la gouvernance dans les secteurs de l'éducation et de la santé, en améliorant la transparence et la fourniture des services. De plus, 570 millions de dollars seront attribués au Programme de renforcement des soins de santé primaires (HOPE-PHC), axé sur l'amélioration de la santé maternelle et infantile. Ce projet devrait toucher 40 millions de Nigérians, surtout dans les régions sous-desservies. Par ailleurs, le Projet d'énergie et d'irrigation durables pour le Nigeria (SPIN) recevra 500 millions de dollars pour renforcer la sécurité des barrages, la gestion de l'eau et les systèmes d'irrigation, réduisant ainsi les risques liés au climat. Cette initiative profitera à environ 950 000 personnes, notamment les agriculteurs, et augmentera la productivité agricole. D'après le directeur des opérations de la Banque mondiale pour le Nigeria, Dr Ndiamé Diop, ces investissements auront un impact considérablement positif sur les citoyens nigérians et leurs moyens de subsistance.

SOURCE : NAIRAMETRICS

Le Parlement libyen a approuvé la nomination du nouveau gouverneur de la Banque centrale.

Le Parlement de l'Est libyen a désigné Naji Mohamed Issa Belqasem comme gouverneur de la Banque centrale, suite à la révocation de l'ancien gouverneur Sadiq al-Kabir par le conseil présidentiel de Tripoli le mois dernier. Belqasem, qui était le directeur du contrôle bancaire et monétaire de la Banque centrale, a reçu l'approbation unanime des 108 députés présents. Mari Muftah Rahil Barrasi a été nommée pour le seconder, et ensemble, ils devront constituer un nouveau conseil d'administration pour la Banque centrale dans un délai de dix jours. Ces nominations s'inscrivent dans le cadre d'un accord négocié par l'ONU entre le Parlement de l'Est et le Haut Conseil d'État de l'Ouest, visant à stabiliser les institutions financières nationales, secouées par la destitution d'al-Kabir. Le Parlement de l'Est a contesté cette destitution, la jugeant contraire aux règles provisoires qui régissent l'unité institutionnelle de la Libye. Avant son éviction, al-Kabir avait fait l'objet de critiques concernant sa gestion des revenus issus du pétrole libyen.

SOURCE : AP NEWS

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Le régime de visas de la Namibie pourrait-il servir de modèle pour l'Afrique du Sud ?

La Namibie a récemment mis en place un régime de visas pour 31 pays, citant un manque de réciprocité, ce qui a provoqué un débat en Afrique du Sud sur la possibilité d'adopter une approche similaire. Certains soutiennent que l'introduction de visas réciproques pourrait nuire au tourisme, un secteur vital pour l'Afrique du Sud, qui a apporté 14 milliards de dollars à l'économie en 2022. Toutefois, des études indiquent que l'impact varie selon le type de visa. Des options plus souples, telles que les visas électroniques ou sur arrivée, sont moins susceptibles de décourager les touristes que les procédures de visa traditionnelles et plus complexes. Les défenseurs de cette politique affirment que l'Afrique du Sud pourrait tirer des revenus des frais de visa, simplifier les systèmes bureaucratiques et renforcer sa souveraineté sur la scène internationale. L'adoption de visas réciproques pourrait constituer un pas vers l'équilibrage des politiques de visa mondiales, qui favorisent souvent les nations les plus prospères, notamment celles de l'Occident. Les partisans de cette politique croient qu'elle transmettrait le message que l'Afrique du Sud privilégie l'équité, le respect mutuel et la souveraineté dans ses relations internationales.

SOURCE : AL JAZEERA

Les Émirats arabes unis et le Soudan se lancent des accusations réciproques concernant le bombardement de la résidence de l'ambassadeur.

Les Émirats arabes unis et le Soudan s'accusent mutuellement du bombardement de la résidence de l'ambassadeur. Les Émirats ont imputé à l'armée soudanaise le bombardement de la résidence de leur ambassadeur à Khartoum, causant de sérieux dommages. Ils ont dénoncé l'attaque en tant que violation des locaux diplomatiques dans un communiqué et ont demandé des comptes à l'armée soudanaise. En réponse, l'armée soudanaise a rejeté toute responsabilité, pointant du doigt les Forces de soutien rapide (RSF), un groupe paramilitaire présumé soutenu par les Émirats, comme les auteurs de l'incident. Depuis avril 2023, une guerre civile féroce oppose les RSF à l'armée soudanaise, entraînant plus de 14 000 décès et laissant environ 25 millions de personnes en besoin d'assistance humanitaire. Cette guerre a ravagé Khartoum, la capitale, largement sous le contrôle des RSF, bien que récemment, l'armée soudanaise ait redoublé d'efforts pour reconquérir la ville.

SOURCE : DW

Le Rwanda fait face à sa première menace du virus Marburg.

Le Rwanda fait face à sa première flambée du virus Marburg, une maladie hémorragique fatale semblable au virus Ebola. À ce jour, 26 personnes ont été infectées par le virus, 18 sont en traitement et huit sont décédées. Le virus Marburg, sans traitement ni vaccin approuvé, a un taux de mortalité pouvant atteindre 88%. Il s'est répandu dans sept des trente districts du pays. Plus de cent personnes sont actuellement surveillées ou isolées pour prévenir toute infection. Malgré la gravité de la situation, les responsables de l'OMS sont confiants que le robuste système de santé publique rwandais aidera à maîtriser l'épidémie. L'Organisation mondiale de la santé a envoyé des experts pour soutenir le Rwanda et a fourni du matériel médical. Les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies des États-Unis se sont aussi engagés à aider, annonçant l'envoi d'experts pour assister aux opérations sur place.

SOURCE : CNN

L'ONU a révélé que les rebelles congolais génèrent des revenus mensuels de 300 000 dollars.

Bintou Keita, à la tête de la mission des Nations Unies au Congo, a exprimé ses préoccupations au sujet du groupe rebelle M23, soutenu par le Rwanda. Elle a informé le Conseil de sécurité de l'ONU que les rebelles récoltent environ 300 000 dollars mensuellement en taxant la production de la mine de coltan de Rubaya. Cette mine, située à l'est du Congo, extrait du tantale, un métal précieux utilisé dans la fabrication des smartphones et des ordinateurs. Keita a indiqué que la région de Rubaya contribue à plus de 15 % de la production mondiale de tantale. Elle a souligné devant le Conseil de sécurité que ces profits consolident les groupes armés, prolongent l'exploitation des civils et entravent les efforts de paix. Le Congo, riche en ressources minérales, est plongé dans un conflit foncier et minier impliquant divers groupes armés. La situation s'est détériorée avec la recrudescence du M23 en mars 2022. Keita a plaidé pour des sanctions internationales contre ceux qui bénéficient du commerce illégal des ressources congolaises, en déclarant que sans cela, la paix resterait hors de portée.

SOURCE : BUSINESS INSIDER

Une étude récente propose que les fossiles ont influencé l'art rupestre en Afrique du Sud.


Des scientifiques supposent qu'une énigmatique peinture rupestre trouvée dans la province de l'État libre en Afrique du Sud pourrait illustrer un dicynodonte, un ancêtre disparu des mammifères. Cette œuvre, surnommée le panneau du serpent cornu, montre une créature avec deux défenses orientées vers le bas. Initialement, ces défenses ont conduit les chercheurs à penser que l'animal pourrait être un morse, mais cette idée a été écartée car les morses n'ont jamais vécu en Afrique du Sud. Le peuple San, autochtone et auteur de cette peinture, possédait une connaissance approfondie de son environnement, y compris des fossiles anciens trouvés lors de leurs chasses. Ceci laisse penser qu'ils auraient pu représenter des dicynodontes bien avant leur description scientifique en 1845.

SOURCE : LA CONVERSATION

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