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Un militant ougandais pour le climat établit un record mondial Guinness pour le plus long câlin dans un arbre Afrique 2050 25 avril 2024

25 avril 2024 à 20h03 - 310 vues

PAR RADIOTAMTAM AFRICA

L’approbation de l’accord britannique sur les migrants suscite l’angoisse des chômeurs rwandais

Après une bataille prolongée devant les tribunaux et le Parlement, le gouvernement conservateur britannique a obtenu lundi l'adoption d'une législation destinée à permettre au pays d'envoyer des demandeurs d'asile au Rwanda. Le quartier Hope Hostel, à la périphérie de Kigali, regorge de vendeurs ambulants, de motos-taxis et d'imposantes villas, sera le nouveau foyer des migrants amenés du Royaume-Uni. Selon son directeur général, Ismael Bakina, l'auberge dispose de 50 chambres doubles, pouvant accueillir jusqu'à 100 personnes. Au départ, l’auberge avait un but différent. Il y a encore deux ans, il abritait des survivants du génocide de 1994. Pour l’instant, l’auberge reste vide, en attendant que le processus politique au Royaume-Uni aboutisse. Un porte-parole du gouvernement rwandais a déclaré que les demandeurs d'asile en provenance du Royaume-Uni recevraient une formation et seraient introduits sur le marché du travail. Mais les Rwandais sont confrontés à une crise de l’emploi avec 15 pour cent de la population active au chômage en 2023, selon la Banque mondiale, et le taux de chômage des jeunes était encore plus élevé, à plus de 20 pour cent.


LA SOURCE : AL JAZEERA | LE NEW YORK TIMES

Les robinets pour une expansion controversée du tourisme en Tanzanie se tarissent

La Banque mondiale a suspendu le financement d'un projet touristique en Tanzanie qui a causé des souffrances à des dizaines de milliers de villageois, selon un groupe de défense des droits basé aux États-Unis qui exhorte depuis longtemps le prêteur mondial à prendre de telles mesures. La décision de la Banque mondiale de suspendre le projet de 150 millions de dollars, qui vise à améliorer la gestion des ressources naturelles et des actifs touristiques dans une région reculée du sud de la Tanzanie, était « attendue depuis longtemps », a déclaré mardi l'Oakland Institute dans un communiqué, accusant la banque de "le fait de ne pas prendre de mesures immédiates a entraîné de graves préjudices pour les communautés locales." Au moins 100 millions de dollars ont déjà été décaissés pour le projet, qui a débuté en 2017. La suspension du financement de la Banque mondiale est entrée en vigueur le 18 avril.


SOURCE : ACTUALITÉS AFRIQUE

Les risques de financement du terrorisme auxquels sont confrontées les ONG en Afrique du Sud


L'évaluation des risques sectoriels s'aligne sur celle du Groupe d'action financière, un organisme intergouvernemental qui fixe des normes et des mesures mondiales pour lutter contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme. Il en résultera des mesures ciblées, proportionnées et fondées sur les risques pour atténuer les risques identifiés pour le secteur des OBNL. Lancé les 18 et 19 avril, le rapport est le fruit d'un effort de collaboration entre des partenaires gouvernementaux – notamment le Centre de renseignement financier, les services fiscaux sud-africains et le ministère du Développement social – des organisations des secteurs public et privé, des OBNL et des organisations faîtières. Le secteur des OBNL joue un rôle essentiel dans la société sud-africaine, en apportant secours et soutien aux groupes de population dans le besoin, souvent dans des circonstances et des régions difficiles. Les efforts des OBNL complètent ceux du gouvernement et des entreprises en fournissant un soutien, un réconfort et un espoir essentiels, parfois vitaux, à ceux qui en ont besoin.

SOURCE : QUOTIDIEN MAVERICK

La réponse rapide du Zimbabwe au récent déclin de la nouvelle monnaie adossée à l'or

Les autorités ont appréhendé des changeurs de monnaie illicites et fermé les comptes bancaires d'entreprises accusées de négocier exclusivement en dollars américains. Lundi, les chefs d'entreprise du Zimbabwe ont plaidé auprès des commissions parlementaires pour demander au gouvernement de cesser d'arrêter les changeurs de monnaie et de rouvrir les comptes bancaires des entreprises accusées de n'accepter que des devises étrangères. "Il s'agit du processus initial d'un changement de politique monétaire", a déclaré Sekai Kuvarika, directeur général de la Confédération des industries du Zimbabwe. "Alors, donnons-nous du temps. Laissons du temps au marché. Laissons aux décideurs politiques le temps de réitérer la façon dont la politique va fonctionner sur nos marchés. Mais nous ne soutenons absolument pas que nous accompagnions nos politiques avec la police." La prochaine étape de ZiG – l’introduction de billets et de pièces physiques au public – est prévue pour le 30 avril.

SOURCE : VOA

L'ancien président sud-africain Jacob Zuma prouve qu'il a toujours une séquence de victoires


Pour la troisième fois au cours du mois dernier, l'homme de 82 ans a déjoué les tentatives visant à l'empêcher, lui ou son nouveau parti, de se présenter aux élections législatives de fin mai. Sa dernière victoire est survenue lundi devant la Haute Cour de Durban, où le Congrès national africain (ANC) au pouvoir a tenté de forcer son parti, uMkhonto weSizwe (MK), à abandonner son nom et son logo. En effet, il porte le nom de la branche armée aujourd'hui dissoute de l'ANC, qui a lutté contre le régime de la minorité blanche et qui a pris fin avec l'élection du héros anti-apartheid Nelson Mandela en 1994. L'ANC a fait valoir que la loi sur les marques avait été violée et que le droit des marques avait été violé. l’utilisation de ce nom, qui se traduit par Lance de la Nation, pourrait semer la confusion chez les électeurs lors des prochains scrutins de mai. Le juge n'était pas d'accord.

SOURCE : BBC
Célébrant 30 ans d'autonomisation et d'investissement en Afrique australe, Shared Interest, un fonds de garantie à but non lucratif de premier plan dédié à fournir aux femmes entrepreneures noires et aux petites et moyennes entreprises d'Afrique australe un accès au financement, aux marchés et aux compétences dont elles ont besoin pour se développer. richesse.

Les espèces populaires des lacs Soda au Kenya, en Tanzanie et en Éthiopie sont en diminution

Les résultats, publiés dans la revue scientifique Current Biology, révèlent que la montée des eaux détruit les cyanobactéries, communément appelées algues bleu-vert, dont se nourrissent les flamants roses. Cette espèce de cyanobactérie ne se développe que dans les conditions très salées et alcalines des lacs soda. Mais l'augmentation de l'eau dans les lacs, qui n'ont pas de rivières sortantes, les a dilués, réduisant leur salinité et limitant la croissance de la nourriture dont dépendent les flamants roses. Les chercheurs ont conclu que seulement la moitié des lacs qui offraient des habitats d’alimentation de haute qualité en 2000 étaient encore adaptés au régime alimentaire des flamants roses en 2022.

SOURCE : SEMAFOR

La lutte contre le terrorisme figure en tête de l’agenda ouest-africain

Selon le Centre africain d'études et de recherches sur le terrorisme (CAERT), l'Afrique a connu en moyenne huit incidents liés au terrorisme et 44 victimes quotidiennes en 2023. Le bilan comprend 7 000 civils et 4 000 militaires tués dans des attaques. Le conseiller à la sécurité nationale du Nigeria et organisateur du sommet, Nuhu Ribadu, a souligné la nécessité urgente de lutter contre le terrorisme en Afrique. Il a souligné les diverses menaces posées par les groupes terroristes et a souligné l'importance de stratégies de sécurité intégrées. Le président de la Commission de l'Union africaine, Moussa Faki Mahamat, a également participé au sommet antiterroriste de deux jours, soutenu par les Nations Unies. « Le moment est venu d’élaborer un plan d’action stratégique continental global pour lutter efficacement contre le terrorisme à travers l’Afrique », a déclaré Faki.

SOURCE : CNN

[AVIS] Le programme triennal de transition du Tchad avait un seul objectif : le maintien à long terme du pouvoir par Mahamat Déby

Cet objectif a été poursuivi de quatre manières : oppression violente et intimidation ; composition des institutions électorales; approbation des candidats à la présidentielle ; et les stratégies de campagne. L'élection aura lieu le 6 mai 2024 et mettra fin à une période de transition de trois ans menée par Mahamat Déby après le décès soudain de son père, Idriss Déby Itno, en avril 2021. La nouvelle constitution adoptée lors d'un référendum controversé en décembre 2023 exigeait que création de deux institutions électorales avant le processus électoral. Les institutions sont l'Agence nationale de gestion des élections et le Conseil constitutionnel. L'agence de gestion des élections est chargée d'organiser les élections tandis que le conseil constitutionnel examine les candidats aux élections ainsi que les résultats. Mahamat Déby a nommé les membres de ces deux instances le 30 janvier 2024 pour un mandat de sept ans, ce qui signifie qu'ils pourraient le servir lors de deux élections. Tous étaient fidèles à son père dans le passé et sont membres depuis de nombreuses années du Mouvement Patriotique du Salut, ancien parti au pouvoir.

SOURCE : LA CONVERSATION

Les critiques du gouvernement de Kinshasa sont sur le qui-vive – et pour cause

Le mois dernier, le ministère de la Justice a annoncé qu'il rétablissait la peine de mort, mettant fin au moratoire en vigueur depuis 2003, afin de « débarrasser l'armée des traîtres de notre pays » et « d'endiguer la résurgence des actes de terrorisme et du banditisme urbain ». . Le rétablissement de la peine capitale est en partie une réaction à la situation désespérée dans l’est du Congo, où le groupe rebelle M23 a encerclé la ville de Goma. Le conflit avec le M23, soutenu par le Rwanda, a forcé plus d'un million de personnes à quitter leurs foyers, dont la plupart vivent désormais dans des conditions sordides, entassées autour de Goma. L’armée congolaise est en retrait. « Nous n'avons pas le choix », déclare Patrick Muyaya, porte-parole du gouvernement, à propos de la peine de mort.

SOURCE : L'ÉCONOMISTE

Un militant ougandais pour le climat établit un record mondial Guinness pour le plus long câlin dans un arbre

Un coup de foudre a mis fin à sa première tentative, mais Patricia Ariokot a réussi la deuxième fois, entrant dans le Livre Guinness des records en serrant un arbre dans ses bras pendant 16 heures. Son exploit n'était pas un coup publicitaire mais un effort de sensibilisation au problème croissant de la déforestation en Ouganda. Selon Global Forest Watch, l’Ouganda a perdu plus d’un million d’hectares (2,5 millions d’acres) de couverture arborée à cause de la déforestation entre 2001 et 2022. Ariokot promeut également la préservation des arbres en fabriquant des crayons à planter, des crayons en bois remplis de graines d’arbres. Elle mène régulièrement des actions de sensibilisation communautaire, principalement dans les écoles de l'est de l'Ouganda.

SOURCE : DW

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