© Revue de presse des médias africains du 17 mars 2025 REVUE DE PRESSE 17 mars 2025

17 mars 2025 - 16:46 - 437vues
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✍ Par Félicité Amaneyâ Râ VINCENT
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AFRIQUE CENTRALE GABON SELON RADIOTAMTAM AFRICA : Présidentielle au Gabon : Brice Oligui Nguema renforce son assise politique. À moins d’un mois de l’élection présidentielle du 12 avril 2025, la candidature de Brice Clotaire Oligui Nguema, actuel président de la Transition, prend de l’ampleur. Soutenu par un nombre croissant de partis politiques et d’associations, il s’impose progressivement comme une figure centrale de cette élection, bien que certaines incertitudes subsistent quant à la transparence et l’issue du processus électoral.
Une coalition politique en expansion
Le ralliement de figures influentes de la scène politique gabonaise marque un tournant dans cette campagne. Raymond Ndong Sima, actuel Premier ministre, a officiellement exprimé son soutien à Brice Oligui Nguema, mobilisant les militants de son parti, l’Alliance patriotique.
Dans la même dynamique, Alexandre Barro Chambrier, vice-Premier ministre, et Paulette Missambo, présidente du Sénat, ont également apporté leur appui à la candidature du chef de la Transition. Jean-Boniface Assélé, oncle de l’ancien président Ali Bongo, a quant à lui rejoint le mouvement, renforçant ainsi la légitimité de cette coalition politique en gestation.
Cet élargissement du soutien à Oligui Nguema illustre une volonté de consolidation politique, alors que le pays tente de tourner la page après la chute du régime Bongo en 2023.
La force du soutien associatif : un ancrage populaire
Le soutien à Brice Oligui Nguema ne se limite pas aux acteurs politiques. Plus de 1 200 associations ont déjà rejoint la "Plateforme des bâtisseurs", un collectif structuré pour porter sa candidature.
Derrière cette dynamique, Anges Kevin Nzigou, coordinateur du mouvement, met en avant un projet politique rassembleur, où partis et associations se retrouvent autour d’une vision commune. Cette stratégie permet à Oligui Nguema de se positionner comme un candidat du consensus national, cherchant à fédérer au-delà des clivages politiques traditionnels.
Un contexte électoral particulier
L’absence d’Ali Bongo, figure incontournable de la politique gabonaise pendant des décennies, rebat les cartes du jeu électoral. Après le renversement de son régime en 2023, l’élection présidentielle du 12 avril 2025 apparaît comme une étape décisive pour redéfinir l’avenir politique du Gabon.
Alors que plusieurs candidats attendent toujours les décisions de la Cour constitutionnelle sur leurs recours, Brice Oligui Nguema bénéficie d’une dynamique ascendante, se présentant comme l’homme capable d’assurer une transition stable et maîtrisée.
Le Parti démocratique gabonais (PDG), ex-parti au pouvoir, n’a pas encore annoncé son positionnement. Son choix pourrait peser lourd dans le scrutin, notamment si ses cadres décident de rejoindre la dynamique Oligui Nguema ou d’opter pour une opposition structurée.
Un mois décisif pour l’avenir du Gabon
À l’approche du 12 avril, plusieurs inconnues subsistent :
✅ L’évolution des ralliements politiques : le nombre d’adhésions à la Plateforme des bâtisseurs devrait encore augmenter.
✅ Le verdict de la Cour constitutionnelle : il déterminera la liste définitive des candidats, influençant ainsi l’équilibre des forces en présence.
✅ La position du PDG : son choix pourrait redessiner les alliances électorales et modifier les rapports de force.
Si Brice Oligui Nguema continue de fédérer de nouveaux soutiens et de structurer son programme autour d’une promesse de stabilité et de continuité, il pourrait s’imposer comme le favori du scrutin. Toutefois, les incertitudes demeurent, et la campagne présidentielle s’annonce encore riche en rebondissements.
Le mois à venir sera crucial pour l’avenir politique du Gabon.
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AFRIQUE CENTRALE RDCONGO SELON TV5 MONDE : RD Congo : Kinshasa représentée mardi dans les discussions sur la crise à l’est du pays. Une délégation de la République démocratique du Congo (RDC) sera ce mardi à Luanda, où doivent commencer des pourparlers de paix sur le conflit dans l’est du pays, a annoncé ce dimanche la présidence congolaise, sans toutefois s’engager à entamer des négociations directes avec le groupe armé M23…Aucun détail sur la composition de cette délégation congolaise n’a été communiqué. Le président angolais Joao Lourenço, médiateur désigné par l’Union africaine dans le conflit, a annoncé en début de semaine que la RDC et le M23 entameraient mardi des « négociations de paix directes ». Le président Tshisekedi a jusqu’ici opposé un refus répété à toute discussion directe avec le M23, qu’il qualifie régulièrement de « groupe terroriste »…Le président Lourenço a appelé samedi à un cessez-le-feu dès dimanche 00H00, un appel auquel aucun des belligérants n’a répondu. Ce cessez-le-feu a pour objectif de conduire « à la création d’un climat de détente qui favorise le début des pourparlers de paix » prévu mardi à Luanda, indiquait la présidence angolaise dans un communiqué samedi.
AFRIQUE DE L’EST RWANDA SELON LE MONDE : Le Rwanda annonce rompre ses relations diplomatiques avec la Belgique
Le Rwanda « a notifié aujourd’hui le gouvernement de Belgique de sa décision de rompre les relations diplomatiques, avec effet immédiat », a annoncé le ministère des affaires étrangères rwandais dans un communiqué, lundi 17 mars. Une décision liée aux « tentatives pitoyables » de Bruxelles de « maintenir ses illusions néocoloniales », selon Kigali, qui donne quarante-huit heures aux diplomates belges pour quitter le territoire rwandais. Le Rwanda accuse la Belgique d’avoir « pris parti » pour Kinshasa « bien avant et pendant le conflit en cours en République démocratique du Congo (RDC) », où le groupe rebelle armé M23 et des forces de défense rwandaises (FDR) combattent le gouvernement congolais dans l’est du pays. Le Rwanda accuse la Belgique d’avoir « pris parti » pour Kinshasa « bien avant et pendant le conflit en cours en République démocratique du Congo (RDC) », où le groupe rebelle armé M23 et des forces de défense rwandaises (FDR) combattent le gouvernement congolais dans l’est du pays…Bruxelles avait notamment demandé, à la fin de janvier, à l’Union européenne (UE) d’envisager des sanctions contre le Rwanda, accusé de violer la souveraineté de la RDC. La Belgique n’avait pas soutenu la nouvelle aide de 20 millions d’euros octroyée en novembre. Elle s’était abstenue lors d’un vote au Conseil de l’Union européenne. Le Rwanda avait annoncé en février la suspension des programmes d’aide au développement belges dans le pays.
AFRIQUE DE L’OUEST BURKINA FASO SELON RFI : Burkina Faso: plusieurs positions des forces de sécurité attaquées dans le pays. Rien que ce week-end, des jihadistes se sont attaqués à deux bases de la police et des militaires burkinabès allant jusqu’à occuper l’une d’elles pendant quelques heures. Si l’état-major n’a pas communiqué sur ces attaques, elles interviennent alors que le gouvernement burkinabè a clamé, la semaine dernière, avoir repris des pans de son territoire lors d’opération dites de reconquête. Selon des sources sur place, d’intenses combats ont opposé jihadistes et militaires samedi après-midi, autour de la base de Séguénéga, au nord du Burkina Faso. D’après un habitant, des hommes armés, venus en grand nombre à bord de motos, ont occupé le camp des militaires, qui avaient battu en retraite. Une autre source, présente sur place, raconte que, avant de partir, les jihadistes ont pris le soin de collecter les armes des forces de sécurité, laissant derrière eux ce qu’ils ne pouvaient pas emporter et mettant le feu à certaines boutiques. Après leur forfait, les mêmes assaillants sont revenus le lendemain, alors que « les renforts des FDS étaient toujours attendus », regrettent les rares habitants restés sur place. Aucun bilan n’est encore disponible.
AFRIQUE DE L’OUEST MALI SELON RFI : Mali: Youssouf Toloba, chef militaire de la milice Dan Na Ambassagou, demande des armes contre les jihadistes. Il y a « Zéro sécurité dans le centre du Mali » : Youssouf Toloba, figure incontournable de la milice armée Dan Na Ambassagou (« les chasseurs qui se confient à Dieu » en langue dogon) qui prétend défendre les chasseurs traditionnels Dozos, le répète à deux reprises dans l’audio qui circule. Les jihadistes contrôlent toujours des localités du centre du Mali, et imposent leurs lois aux autochtones de ces contrées. Pour l’heure, déplore t-il, les centaines d’hommes armés qu’il dirige dans la région centre du pays sont pris entre le marteau et l’enclume, entre d’un côté les troupes régulières qui veulent les désarmer et de l’autre, les jihadistes qui posent des mines sur leur chemin. L’homme, à la fois craint et décrié, alerte : « Chaque jour, nous assistons à l’évacuation forcée de villages entiers sous la contrainte des jihadistes… » Ces derniers imposent des lois aux autochtones qui, résignés, les acceptent afin de pouvoir vivre dans leurs villages. Youssouf Toloba est contre la signature d’accord avec les jihadistes et demande « des armes pour les combattre », avant de conclure : l’armée malienne ne doit pas faire nous des adversaires, mais des alliés contre le terrorisme. Ce n’est pas la première fois que Yossouf Toloba interpelle les autorités de Bamako. En décembre 2020 déjà, dans une vidéo, il demandait aux autorités de transition d’alors de renforcer la présence de l’armée dans le pays dogon.
AFRIQUE DE L’OUEST BENIN SELON RFI : Bénin: une «dégradation de la situation sécuritaire» à Banikoara, dans le nord du pays. «Terrorisme au Nord du Bénin : éviter une crise sécuritaire à Banikoara». C’est le titre d’un rapport que publie le Timbuktu Institute aujourd’hui ce lundi 17 mars. Il se concentre donc sur Banikoara cette commune proche du parc W et de la frontière avec le Burkina Faso. Elle est située dans l’Alibori, dans le nord du Bénin. Une zone confrontée à la menace d’attaques de groupes extrémistes violents. Le Timbuktu Institute évoque une « dégradation de la situation sécuritaire » dans la commune. Et identifie des mesures à prendre pour lutter contre la menace…Le Timbuktu Institute s’inquiète de l’émergence de complicités locales, volontaires ou forcées. Un habitant confie que « les terroristes recherchent leur coopération ». Situation qui ne laisse, dit-il, que deux options : fuir ou collaborer…Au niveau sécuritaire, peut-on lire, les populations apprécient globalement les mesures prises par l’État béninois, mais les jugent encore insuffisantes dans cette vaste commune proche du parc W. Selon le Timbuktu Institute, il existe toutefois un climat de méfiance et certains dispositifs sont perçus comme des sources de répression. Il est donc essentiel de restaurer la confiance entre l’État, les forces de sécurité et les populations, conclut le Timbuktu Institute. Et de stimuler l’économie, pour réduire la vulnérabilité des jeunes face aux groupes terroristes et criminels.
AFRIQUE DE L’OUEST GUINEE SELON JEUNE AFRIQUE : Alpha Condé accuse la junte guinéenne de vouloir « soumettre » l’opposition. L’ex-président de la Guinée, Alpha Condé, renversé par le putsch de 2021, a dénoncé, samedi 15 mars, une volonté de la junte au pouvoir de « soumettre » l’opposition. La veille, la junte dirigée par le général Mamadi Doumbouya avait annoncé la suspension pour trois mois de 28 partis, parmi lesquels deux des principaux du pays : le Rassemblement du peuple de Guinée (RPG) d’Alpha Condé, installé à l’étranger, et le parti de l’opposant en exil Sidya Touré, l’Union des forces républicaines (UFR). Selon la junte, ces partis ont manqué à leurs obligations de fournir un compte bancaire ou de tenir un congrès au cours des trois derniers mois. Les militaires ont également prononcé la dissolution de 27 partis et mis sous observation quatre autres formations politiques, après avoir indiqué vouloir organiser des élections cette année. Ils ont autorisé 75 partis à poursuivre leur activités politiques, de même que 24 autres formations – dont celle de l’opposant en exil Cellou Dalein Diallo –, mais sous réserve d’organiser un congrès au cours des 45 prochains jours. Ces décisions interviennent dans un climat tendu, marqué par la disparition de plusieurs opposants à la junte et une restriction sévère des libertés.
AFRIQUE CENTRALE GABON SELON RFI : Présidentielle au Gabon: de nombreux partis et associations se rallient à Brice Oligui Nguema. Au Gabon, l’élection présidentielle se tiendra le 12 avril, dans moins d’un mois. Le ministère de l’Intérieur a déjà validé 4 candidats, 13 autres ont introduit un recours à la Cour constitutionnelle et seront fixés cette semaine. Le président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, l’un des quatre candidats validés par le ministère de l’Intérieur, lui, est déjà sur le terrain. Ce week-end, plusieurs partis ont tenu leur congrès pour annoncer leur ralliement à la candidature de Brice Oligui Nguema. L’actuel Premier ministre, Raymond Ndong Sima, a battu le rappel des militants de son parti, l’Alliance patriotique, pour formaliser le soutien à la candidature de Brice Clotaire Oligui Nguema. Le Rassemblement pour la patrie et la modernité d’Alexandre Barro Chambrier, qui occupe les fonctions de Vice-Premier ministre, lui a emboité le pas. L’Union nationale, de Paulette Missambo présidente du Sénat ainsi que Florentin Moussavou, président de Conscience et action citoyenne ont aussi annoncé leur soutien…Plus de 1 200 associations ont déjà adhéré à la Plateforme des bâtisseurs. L’ouverture des adhésions des partis politiques aura cette semaine. Le PDG, l’ancien parti au pouvoir, a décidé d’attendre la liste définitive de tous les candidats après les recours à la Cour constitutionnelle pour annoncer quel candidat il soutiendra. La Cour a huit jours pour décider. Elle doit rendre sa décision au plus tard jeudi.
AFRIQUE CENTRALE TCHAD SELON RFI : Tchad: après sa rencontre avec le président Déby, Marine le Pen a visité l’Assemblée nationale. Marine Le Pen, la cheffe de file des députés du parti d’extrême droite français, le Rassemblement National, était en visite parlementaire au Tchad pendant trois jours. Quelles sont les raisons de cette visite de la députée française ? Arrivée vendredi dans la soirée et repartie ce dimanche soir, Marine Le Pen a eu droit à un accueil en grande pompe avec un programme chargé : passage à l’Assemblée Nationale et au Sénat à N’Djamena mais aussi rencontre avec le président Mahamat Idriss Déby dans sa résidence privée à Amdjarass, fief de la famille Déby où le chef de l’État réside pendant le mois de ramadan. Dimanche, devant l’Assemblée nationale, Marine Le Pen dit être attristée par les liens « en froid » entre la France et le Tchad suite à la rupture des accords de coopérations militaires avec la France. « Lorsque l’on est amis depuis 200 ans, un froid peut être assez facilement surmonté pour peu que l’on s’entende. Encore faut-il s’écouter, je suis donc venue écouter le Tchad. Je suis convaincue que les relations interparlementaires peuvent retisser ce lien essentiel entre deux amis, la France et le Tchad. » … [P]our Ali Kolotou Tchaïmi, le président de l’Assemblée nationale du Tchad, cet accueil n’a rien d’inhabituel. « C’est une visite parlementaire, un petit tapis déroulé, on le fait à toutes les personnalités qui aiment le Tchad et qui viennent nous rendre visite à l’assemblée. Ce n’est pas une spécificité, mais il faut reconnaître que Marine Le Pen est une personnalité française, mais qui aime le Tchad. » Et Ali Kolotou Tchaïmi a rappelé à la députée du RN que « la fin des accords militaires avec la France ne signifiait pas une rupture totale de la coopération ».
AFRIQUE DE L’OUEST BENIN SELON SAHEL INTELLIGENCE : Sahel : Le Togo souhaite rejoindre l’Alliance des États du Sahel. Le ministre togolais des Affaires étrangères, Robert Dussey, a annoncé l’intention de son pays de rejoindre l’Alliance des États du Sahel (AES), une organisation regroupant actuellement le Burkina Faso, le Mali et le Niger. Cette déclaration a été faite sur son compte officiel Facebook. Dans ses propos, M. Dussey a souligné que cette initiative stratégique pourrait renforcer la coopération régionale tout en offrant un accès direct à la mer pour les pays membres. Il a également précisé que cette démarche marque un tournant dans la politique africaine, bien qu’il n’ait pas donné de précisions sur la nature des démarches officielles à entreprendre pour concrétiser cette volonté. A ce jour, les membres de l’AES n’ont pas réagi à cette annonce. Il convient de rappeler que le président togolais, Faure Gnassingbé, avait été désigné par la conférence des chefs d’État de la Communauté des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) pour jouer un rôle de médiateur entre l’AES et la Cédéao…L’adhésion du Togo à l’AES pourrait ainsi offrir à ces nations enclavées un accès à l’océan Atlantique, brisant ainsi le blocus qui leur a été imposé, comme l’avait précédemment expliqué le ministre Robert Dussey.
AFRIQUE DE L’OUEST NIGER SELON LE MONDE : Au Niger, l’armée affirme avoir secouru cinquante migrants « en détresse » dans le désert. Cinquante migrants « en détresse » ont été secourus en fin de semaine dans le nord désertique du Niger, près de la frontière libyenne, point de passage sur la route vers l’Europe, a annoncé dimanche 16 mars l’armée nigérienne. Les cinquante migrants, dont vingt femmes et douze enfants, étaient « en détresse sous des conditions climatiques extrêmes » lorsque le véhicule qui les transportait est tombé en panne, vendredi, a précisé l’armée dans son dernier bulletin des opérations. C’est un détachement de la brigade d’intervention rapide des militaires qui leur a « porté secours » dans la zone nigérienne de Djado, à quelque 200 kilomètres de la frontière libyenne, a-t-elle indiqué. Les migrants ont reçu les « soins d’urgence » après leur évacuation vers le « puits de l’espoir », un point d’eau rarissime dans cette région où les voyageurs et des milliers de migrants font souvent escale dans leur périlleuse traversée du désert. L’armée ne précise pas les nationalités des cinquante personnes, qui se dirigeaient vers la Libye. En 2024, plus de 31 000 migrants ont été expulsés d’Algérie vers le Niger voisin, selon l’ONG nigérienne Alarme Phone Sahara (APS), qui évoque un chiffre record.
AFRIQUE CENTRALE CAMEROUN SELON TV5 MONDE : Cameroun : les populations face à la menace de Boko Haram
[VIDÉO] Dans l’extrême-ord du Cameroun, il est de plus en plus difficile de vivre de l’agriculture et de l’élevage. Aux sécheresses et aux intempéries s’ajoutent les attaques de Boko Haram. Pourtant, malgré la peur et les pertes, ces populations refusent de céder.
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✍ Par Félicité Amaneyâ Râ VINCENT
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